NDC plongée c’est en premier lieu un club associatif angevin dont les adhérents animent les différentes activités : formation, gestion de l’association, organisation de séjour ou de moments de convivialité toute l’année. C’est l’énergie des adhérents qui donne vie au club.

Mais NDC c’est aussi une vieille histoire qui accompagne l’évolution de la plongée en France (mais pas que cela …).

NDC, un club subaquatique issu d’un des premiers patronages de France


Drôle de nom pour un club de plongée que celui de « Notre Dame des Champs Angers subaquatique », … drôle d’histoire.

Un petit livret du règlement imprimé en 1928 de la « Société » Notre Dame des Champs nous informe de sa fondation en 1851 par l’abbé Augustin Le Boucher sous la protection de la T.-S.-Vierge.

« Il a décidé de consacrer sa vie au relèvement de la classe ouvrière et de s’occuper des jeunes apprentis qui traînent dans les rues le dimanche

Drôle d’époque où pour être admis il faut « être agréé par le directeur qui s’assure des qualités du postulant et ne donne sa réponse définitive qu’après un délai de 15 jours ». Outre la dévotion spéciale envers la Ste Vierge, la pratique des vertus chrétiennes oblige à se confesser et communier souvent.

Le but est alors de :

–       « Se procurer des amis vertueux,

–       Se soutenir mutuellement

–       Sanctifier la journée du dimanche

–       Se procurer des récréations honnêtes »

Parmi les obligations du sociétaire on y souligne l’exemplarité, l’exactitude, la régularité, la fidélité, l’esprit de famille, le dévouement. On « veille à ce que les nouveaux venus prennent part aux divertissements et ne restent pas isolés ».

Progressivement, avec la liberté d’association (loi de 1901), la laïcité s’est mise en place dans la vie associative (1905). Les obligations précitées se sont transformées en valeurs en s’extirpant de leur fondement religieux au cours du temps. Avec d’autres, elles gardent dans leur forme actuelle tout leur intérêt pour la vie du club.

A bien y réfléchir, notre club n’est pas si éloigné des règles édictées à l’époque.

– Le dimanche matin on écoute « religieusement » les messages prodigués par l’encadrement, puis on partage les gâteaux et le café que chacun apporte

– On baptise toujours les nouveaux !

– Nous sommes tous vertueux, évidemment (!), et prêts à nous soutenir mutuellement. C’est l’esprit même de la palanquée. Il suffit aussi de considérer l’esprit d’équipe mise en lumière lors des formations et autres examens, l’abnégation de celles et ceux qui ont consacré du temps aux formations … dont le RIFA … destiné à secourir autrui

Le club NDC omnisports

Au début du XXème siècle le patronage évolue progressivement vers le club sportif omnisports.

Les sports à NDC se sont développés en 6 sections très diverses qui ont évolué au cours du temps avec : la gymnastique, le football (1913), la voile (1969), la plongée subaquatique (1970), le basket, l’escrime.

Le début, les pionniers

Pour que naisse notre club subaquatique, il faudra attendre la fin de l’année 1970.

Jean-Marc Mesnil revient d’Espagne ou il a effectué ses premières incursions subaquatiques avec son « tuba à balle de ping-pong » (matériel interdit en fin des années 70). Accroc de la vie sous-marine qu’il vient juste de découvrir, il cherche un club dans la région d’Angers. Mais rien n’existe encore. Un article de journal local appelant les personnes intéressées par la plongée à se rencontrer, débloque la situation.

Dominique Girardi a eu l’idée de la première réunion. Elle a lieu à la salle Jeanson, rue Rangeard, là où il y avait un ring de boxes. Les pionniers sont une dizaine à échanger pour constituer l’association. Parmi eux on comptera Michel Houdayer, Jean Brouard, Claude Raveneau, Claude Prud’homme, Michel Debons, Jean- Marc Mesnil, Jean-Pierre Renoncé … Dominique Girardi en sera le premier président.

L’équipe décroche un créneau piscine improbable mais unique, ce sera le dimanche de 7 h à 9 h à la piscine Jean-Bouin. Ça n’a pas changé, nos séances sont toujours aux mêmes horaires le dimanche.

Le groupe achète un bloc de plongée et un détendeur par l’intermédiaire du magasin de pêche « la Carpe d’or ». On se passe donc le bloc et chacun peut ainsi faire son baptême au fond de la piscine … sous le regard des autres qui attendent leur tour en surface ! Le gonflage se fait au magasin « Trigano »

Les entrainements s’enchainent au rythme cadencé des longueurs du bassin de 50 m. Canards, apnées, saut des plongeoirs, vidage de masque. Mais Il faut d’autres blocs !

Le chef pompier Brouard apportera 2 autres bouteilles complètes. 

3 blocs disponibles la première année, complétés par ceux de 2 nageurs du génie qui apportent les leurs. C’est encore insuffisant pour les plongeurs qui ont hâte de se former. Ils font alors preuve d’une belle solidarité en payant une année de cotisation d’avance pour l’achat de nouvelles bouteilles « la Spirotechnique » et des détendeurs « Royal mistral » et « Aquilon ».

Ça y est, NDC subaquatique est lancé !

Avec les quelques pompiers et militaires qui participent à l’encadrement, l’entrainement est forcément un peu commando. L’acronyme « NDC » aurait bien pu se transformer en « Nageurs De Combat » !

Ceux qui étaient peu à l’aise dans l’eau – certains ne savaient pas nager- ont pris cher pendant les entrainements. Avec leurs caractères volontaires, Ils se sont forgés « hommes grenouilles » avec les longueurs de bassins, la multiplication des canards, l’apnée, les vidages de masque, mais pas vraiment formés à la maitrise des gestes techniques nécessaires à la pratique de la plongée. L’Initiation au sauvetage se réalisait en faisant sauter les masques et fermer les robinets de conservation des bouteilles, parfois en maintenant fermement la victime sous l’eau ! le RIFA* n’était pas encore né pour proposer le référentiel de secourisme en plongée nécessaire à tous.

Parmi ces plongeurs Il manquait donc un moniteur. A partir du 1er janvier 1974 la fédération FFESSM imposait la présence d’un « moniteur auxiliaire » [actuel MF1]. C’est Michel WEILLANT, formé à Trébeurden, qui rejoint le club et met son organisation en phase.

Il en devient rapidement le nouveau président jusqu’en 2003 ? tout en poursuivant sa formation de cadre jusqu’à devenir Instructeur national. Michel est aussi un fondateur, une figure respectée et incontournable du club.

La première sortie s’est réalisée le 16 mai 1971 à Pornic. Le carnet de plongée de Jean-Marc Mesnil fait foi : départ d’un voilier d’un copain pour une plongée à 10 m de durée 15 mn. Pas sûr que sa palanquée ait croisé un seul poisson.

Pour s’entraîner en profondeur, la recherche de carrières est nécessaire. Les Ardoisières de Trélazé permettent la « première sortie carrière » qui sera réalisée à la Brémandière le 29 Avril 1972. Les plongées techniques y débuteront : RSE* de 20m, décapelage à 7 m … Enfin des techniques qui ont été bien modifiées depuis ! Le matériel a bien changé aussi.

Plus tard, la carrière de la Porée, offrira 40m de profondeur mais elle sera rapidement interdite à la plongée après 2 accidents mortels de plongeurs extérieures au département.

Pour aller plus loin, à cette époque, les tables GERS 65*, la montre ou le timer, le décompressimètre, le détendeur Cousteau-Gagnan à 1 étage et l’absence de stab procuraient un style particulier à la plongée. Les combinaisons en gros néoprène au liseret jaune allaient s’essayer chez Topstar à côté de Bordeaux. Les palmes étaient presqu’essentiellement des jet-fin.

Pour les plongeurs loisirs, la théorie devient accessible en 1979 avec le livre « La plongée » plus communément appelé « le Guy POULET » du nom de son auteur. Robert BARINCOU également auteur de l’ouvrage était moins cité. Parfois on y faisait référence par un clin d’œil par : « T’as étudié le POULET / BOIRE-UN-COUP ? » Viendra ensuite le « MOLLE et REY » du nom des auteurs de « La plongée subaquatique ». [1991]

Le local de la rue St Evroult

Avant 1997, NDC appartient donc à un club omnisports de la société sportive et culturelle NDC. Le local se situe alors dans le centre-ville d’Angers jusqu’à la vente de la salle Jeanson qui en était sa propriété (près de la cathédrale).

Pour accéder au local de plongée, nous y pénétrions sportivement par une demi-porte de soupirail depuis l’étroite rue St Evroult.

Le samedi on y prenait les bouteilles, dont plusieurs bi (2 x 9 L), pour les plongées en carrière. Après la plongée, elles étaient conservées par les « plongeurs en piscine du dimanche ».

Pas besoin de gilets de stabilisation puisqu’il n’y en avait pas !                     Il Il faudra attendre 1985 environ pour voir la « Fenzy », la bouée collerette gonflée à la bouche. On y ajoutera ensuite une bouteille d’air comprimé de 0,4 l. Grâce à son étrier cette petite bouteille était gonflée sur le bloc à chaque plongée. L’utilisateur prenait garde de ne pas mettre la tête au-dessus, ne sait-on jamais ! Elle viendra soulager les poumons et diminuer les risques d’ADD*. On se rappelle définitivement les mémorables remontées bouteille PA percutée à 40 m lors des préparations et examen 2 ème échelon (N4 actuel).

L’inflateur arrivera à son tour, puis la stab…

Le dimanche les bouteilles étaient transportées en véhicule (merci les utilitaires) puis rééquilibrées à la piscine Jean Bouin par un flexible à double étrier. Un vrai boulot. Ces manœuvres permettaient d’obtenir la pression d’air suffisante pour les formations BE (brevet élémentaire, ex N1). A cette époque, pas de manomètre. Par un mécanisme de tige basculant un ressort de la robinetterie taré à 30b, la réserve d’air de la bouteille était actionnée et permettait donc de consommer jusqu’au vidage entier ! On consommait tout, enfin seulement en piscine !

Comme pour la perception, l’accès au local pour le retour du matériel était un manège qui se faisait le plus rapidement possible. Pourquoi tant de précipitation ? En fait, bien que l’on soit un club de gens aimables par nature, des automobilistes irascibles vociféraient souvent à notre encontre, coincés dans la file des véhicules de nos adhérents venus prendre ou déposer des blocs. Impossible de doubler dans la rue étroite en sens unique, il fallait attendre ! 

Notre diplomatie était fluctuante, fonction de notre fatigue d’après entrainement et de la virulence de l’interpellation. Bon, on est restés gentils le jour ou un commandant de gendarmerie nous a présenté sa carte avant de rejoindre ses pénates à la gendarmerie située à une centaine de mètres.

Le dépôt des blocs était donc toujours un grand jeu sur la voie publique après la séance piscine.

Dans le local, deux compresseurs BAUER de 6m3 / h attendaient patiemment de finir casser la tête du gonfleur pendant les 2 à 3 heures nécessaires au remplissage du parc bouteilles. On se demanderait presque d’où viennent les problèmes d’audition de certains plongeurs !

Il faut déménager de la rue St Evroult

Pendant deux ans, Georges Freulon plongeur assidu du club, nous fournira gracieusement un entrepôt situé chez lui aux Ponts-de-Cé. D’autres membres du club l’aménageront en conformité.

En 1998, la vente de la salle Jeanson, le patronage avec son ring de boxe ou de catch, permet de financer, conjointement avec la ville d’ANGERS et le Lycée St MARTIN – chacun pour un tiers – la construction du complexe sportif BERTIN

Le temps de la construction, il faut déménager. Le centre-ville a attiré les promoteurs immobiliers, notre local va disparaitre et le nouveau n’est pas encore construit.

Nouveau local, nouvelle fédération

En 2007, la Société Sportive et Culturelle NDC ANGERS omnisport, devient la Fédération des Associations Notre Dame des Champs ANGERS. Elle gère les biens des 6 sections précitées qui deviennent alors des clubs à part entière.

NDC Subaquatique conserve la jouissance de son nouveau local plongée par une convention signée avec la ville. Le local est situé dans le complexe sportif Bertin depuis 2010.

Le club Neptune plongée, un enfant de NDC

Côté plongée, en 1989, Joêl Lamarre nouveau moniteur MF1 et Pierre Besson lancent « EXOTICAFOND », une section du club destinée à organiser la plongée vers l’Egypte et les mers chaudes. L’intention était excellente, mais par suite, la gestion du matériel crée une scission dans le club. Les intéressés d’Exoticafond créeront le club « NEPTUNE plongée » à la Vaillante.

 NDC compte alors 125 adhérents.

A partir des années 90 beaucoup d’idées fusent. La qualification d’un nouveau MF1 investi, Yannick Fonteneau [1990] accompagnés par des plongeurs E2 assidus Jean-Marc Mesnil bien sûr, Serge Tsounias, Serge Doutais, Gérard Seguin, Jean-Claude Mahé, Hervé Raveneau, Eric Houel, Eric Garnier, Jack Berthomé… et initiateurs, Jean-Claude Mahé … étendent les plongées d’exploration en Bretagne : Camaret, Brest, Morgat, Ile des Glénan, Cap Sizun, Larmor-plage, Trébeurden… mais aussi méditerranéennes : Porquerolles, Rosas … En 1997 c’est le début de la « Bio » avec Gilles Guénault, Jacques et Solange Macé. Michel Weillant laissera bientôt sa place de président à Hervé Raveneau [2004],  fils de Claude le pionnier.

En 2006 le club connaitra un creux à 41 adhérents, vraisemblablement causé par la rénovation par tranches de la piscine Jean-Bouin (1997 à 2004).

En 2007 Guy Bouchenoire président et MF1 redonne un élan vital à NDC. Les formations de plongeurs et de cadres s’enchaînent pour donner à NDC une colonne vertébrale solide.

En 2009, deux nouveaux moniteurs, Marc Delabre, Sylvie Mesnil (c’est la fille de Jean-Marc !) développent la communication interne par la gestion du site NDC. Jérôme Gaide s’occupe de la plongée enfants avec Sylvie et Philippe Mauriancourt. Par ailleurs, Isabelle Bonneau, Nathalie Cauneau et Philippe Lucas, (homonyme de l’entraineur de Laure Manaudou) prendront des responsabilités au sein du CODEP 49. L’appui du CODEP 49 facilitent la formation de cadres à NDC, particulièrement les initiateurs. Au cours de la mandature jusqu’en 2011 de Guy Bouchenoire, la stabilité du club est retrouvée avec 118 adhérents.

En 2011, c’est l’année ou Patrick Massé prend la présidence. Avec l’appui de Henri Dutasta (ACPC et CODEP) il se forme et devient progressivement MEF2 apnée tout en développant l’activité dans le club, il organise une manche de la coupe de France d’apnée. Eric Garnier participe à la gestion des séances apnée. Avec eux, on sera heureux de rencontrer Stéphane Mifsud* qui viendra conduire un stage de trois jours d’apnée en profondeur aux Fresnaies.

Dans le même temps David Caffier développe la biologie sous-marine au niveau départemental. La « bio » intéresse et quelques plongeurs se forment en mer avec Bernard MARGERIE à Locmiquélic. Laetitia Mainfroid devient aussi notre référente « bio ».

Le club a pris de l’importance au cours des années 2010, non seulement grâce à l’implication des moniteurs en poste, mais aussi par l’arrivée de nouveaux plongeurs qui après leurs formations jusqu’au monitorat, prendront ultérieurement leurs responsabilités : Philippe Chamaillard responsable technique en quelle année ? et Jérémy Cheruau président en 2023. Ségolène Belanger vient de lui transmettre le flambeau de la présidence après deux mandatures aidées par Arnaud Belanger au secrétariat

 A cette période, 2010 donc, on assiste à pléthore d’activités à NDC. Il faut s’assurer de la bonne communication. En s’appuyant de la mémoire collective, on se rappelle qu’en décembre 1994 des feuilles agrafées étaient distribuées à chaque adhérent : « NARCOSE … toujours tu m’intéresses », titre trouvé en 1994 chez Jean-Marc (encore lui) lors d’une soirée brainstorming, comme on aime après la plongée ! Chaque plongeur peut en devenir rédacteur.  La vie du club s’exposait alors dans ce petit journal qui paraitra au gré des rédactions avant une interruption de 2000 à 2008. Grace à Marc Delabre, MF1 imprimeur de métier et à tous les plongeurs qui se lancent à écrire, le journal renait en couleur de janvier 2008 à mai 2012

La vie du club c’est aussi les « Olympiades » qui font s’affronter chaque année les plongeurs, nageurs et apnéistes à la piscine Jean Bouin. Un temps ludique et bon enfant. On se rappelle les relais « à donf » et encore les drôles d’épreuves des années 90 qui proposaient du tir à la corde en équipe dans l’eau, des sauts du 5m palmes et masques à la main avant de remonter tout équipé…

Pour l’anecdote, lors d’une épreuve mûrement réfléchie (!), on l’appelait « le pendu », une énorme poulie avait été installée précautionneusement sur la plateforme du plongeoir de 5 m. Un cordage enveloppait la plateforme et la maintenait scrupuleusement en place. Le deuxième cordage qui passait dans la poulie reliait depuis la surface, d’un côté le plongeur ceinturé, prêt à être remonté, de l’autre le reste de son équipe qui devait à la force d’un palmage collectif conséquent, tirer sur le brin qui le ferait remonter jusqu’à la plateforme pour y faire péter les 2 ballons de baudruches qui l’attendaient.

François H., entre-autre ferrailleur du Lancastria*, on taira son nom, se présente en premier pour la remontée aérienne depuis la surface. Il se ceinture du cordage et les membres de son équipe palment comme des fous pour l’extirper de la gravité. Après une remontée de quelques mètres, (donc ça marche !), le cordage qui fixait la poulie glisse de la plateforme, le plongeur retombe à l’eau, normal, mais il se prend la poulie sur le crâne. Fin de la partie ! Direction les urgences pour quelques points de suture. L’histoire ne dit pas ce que sont devenus les ballons de baudruche intactes.

Depuis, les olympiades sont devenues plus conformes aux savoir-faire des plongeurs, et c’est toujours un bon moment de rigolade, en meilleure sécurité.

De tout encore un peu … après les années 90

Le démarrage des formations Nitrox se réalise à la carrière de Bécon les granits avec Jean Jastrzebski de Aqua Bécon. Il nous fera découvir le recycleur en piscine.

Des plongeurs nageurs NDC participent à des descentes de la Loire de St Mathurin à la Daguenière. Pendant quelques années il y aura aussi des descentes de la Maine en interclubs.

La Nage avec Palmes en eaux libre a été relancée par Bernard LOISEAU et Doriane JACQ.

Le 1 er Mai 2023, la « Traversée d’Angers » rassemblera 91 nageurs venus de toute la France.

Bien sûr de nombreux plongeuses et plongeurs, non cités ici, ont eu toute leur importance pour la vie du club. Ils restent dans le cœur de NDC et dans l’oralité de nos échanges hebdomadaires.

Mention spéciale à Gérard Didier arrivé au club en 2001.

Aujourd’hui, ce « jeune homme dans sa vieille carcasse » comme il se plaît à dire, est devenu notre figure de proue, notre boussole aquatique. On note ses performances bien sûr (105 m en apnée dynamique à 91 ans en 2024), mais on remarque surtout sa bonne humeur, son attention à l’autre.

Si NDC était personnifié, ce serait Gégé !

Aujourd’hui l’histoire, l’avenir de NDC, appartient à tous les adhérents qui écriront demain les pages sous-marines de leurs sensations et de leurs découvertes sous-marines. Les plus belles plongées sont celles à venir !

Pour aller de l’avant, NDC fait confiance aux nouveaux moniteurs 2024, Hédi Benhamed, Jérémy Cheruau, Félicie Neuville et Julien Volerit, venus rejoindre les anciens* sous la houlette de Cyril Labenne (MF2) et Philippe Chamaillard le responsable technique.

*RIFA : Réactions et intervention face à un accident subaquatique

*GERS 65 : Groupe d’étude et de recherches sous-marines

*Narcose … « toujours tu m’intéresses » journal du club qui a connu jusqu’à 27 rédacteurs !

–       N°1 décembre 1994 à N°10 janvier 2000 – Relancé en janvier 2008 n° 18 à N° 27 mai 2012

*Stéphane Mifsud : détenteur du record mondial d’apnée statique 11 mn 35 sec.

*Lancastria : Paquebot transatlantique coulée le 17 juin 1940 au large de St Nazaire.

*Les anciens : Yannick Fonteneau – Guy Bouchenoire – Isabelle Bonneau – Harold Taillefer – Eric Voisine